
Into the little Hill – G. Benjamin
Teatro real / Teatros del canal, Madrid
2020
« Les voix de la soprano J.Daviet et de la mezzo Camille Merckx; splendides dans les parties vocales et élégantes dans leurs mouvements pour éviter danseuses et divers obstacles du décor »
El Pais/ J.F. Guerra
« Camille Merckx, qui a déjà interprété ce rôle en diverses occasions, y offre un timbre obscur très approprié au rôle et chantant avec goût.
Beckmesser.com/Redactorm

Into the little Hill – G. Benjamin
Théâtre de l’Athénée, Paris
2020
« Camille Merckx prête son alto corsé et transformiste au Ministre et à l’Epouse du ministre »
Télérama / S. Bourdais
« Camille Merckx déploie une véritable tessiture d’alto aux graves sûrs et amples »
Forum Opera / A. Jamar
« Camille Merckx (…) nous donne du baume au cœur avec ses graves admirables de précision et d’intensité, le tout en une parfaite articulation. »
Concertonet.fr / F. Coudeyrat


G. Pesson – Trois Contes
Opéra de Lille
2019
« Marc Mauillon et Camille Merckx associent clarté de la projection vocale et humour pince-sans-rire »
Diapason mag / P. Rigaudière
« Camille Merckx (la Reine) possède une voix ample et charnue qui colle immédiatement au portrait de la reine malicieuse ou tyrannique (selon les variations du conte). »
Forum Opera / Y. Boussaert
« le mezzo richement contrasté de Camille Merckx s’y durcit méchamment »
Télérama / S. Bourdais
« La distribution est parfaite, avec entre autres voix succulentes, celles de Camille Merckx(…) »
La Croix / B. Serrou

G. Rossini- Tancredi
Opéra de Lausanne
2015
« Camille Merckx (Isaura) se remarque davantage par la noirceur de son alto »
Concertclassic.com / P.R. Serna


F. Fiszbein – Avenida de los Incas
3518
Théâtre de l’Athénée, Paris
2015
« Camille Merckx met les graves insondables de son timbre au service des lamentos d’Alma enfermée dans sa salle de bain. »
ForumOpera / L.Bury

R. Strauss, Ariadne auf Naxos
Théâtre de l’Athénée, Paris
2013
« Parmi tous les seconds rôles excellemment interprétés, on retiendra notamment le maître de ballet de Damien Bigourdan et la Dryade au timbre chaud de Camille Merckx. »
Classiquenews.com / R. Dor
« Camille Merckx, déjà scotchante lors de Vêpres de Rachmaninov avec l’Ensemble Les Métaboles, Dryade sans peu d’équivalent, bronze onirique de Fille du Rhin, d’Erda, de Waltraute. »
Paperblog.fr / J. Dufour
